Taken 24/09/2021
www.street-heart.com/PA-Les%20Murs%20ont%20des%20Oreilles.htm?fbclid=IwAR1_-3KsGu7AXWKVqzlTxI1Q_q9q9JCRjRawrU4XQwlM8tCpIVlmLl5TWSw
"Depuis l’automne 2020 une série de collages a fleuri dans les rues de Paris.
La série s’appelle « Au pied de la Lettre », l’idée est d’illustrer des expressions françaises avec des œuvres de la peinture classique.
Les Oreilles ont des Murs – Rebecca de son prénom – n’en est pas à son coup d’essai. Elle a commencé à coller des oreilles dans les rues de Strasbourg début 2020 (elle est strasbourgeoise…). Et puis elle est montée à Paris et a essaimé ses oreilles dans les rues de la capitale.
C’est à partir de l’été 2020 que l’artiste a commencé à coller autre chose que des oreilles, et à partir de l’automne de se lancer dans cette série « Au Pied de la Lettre ». Elle s’amuse avec le langage fleuri de notre langue, et pour elle qui est dyslexique et dysorthographique (ce qui ne l’a pas empêché de rentrer en Khâgne), travailler ces expressions imagées, leur nuances, leur orthographe et leur sens, lui permet d’exorciser ce qui fut longtemps une source de honte pour elle.
Le nom « Les murs ont des Oreilles » est resté, et l’Oreille est devenue sa signature.
Cette série est sa première, l’artiste dit avoir beaucoup d’idées pour la suite.
On est impatient…"
"Depuis l’automne 2020 une série de collages a fleuri dans les rues de Paris.
La série s’appelle « Au pied de la Lettre », l’idée est d’illustrer des expressions françaises avec des œuvres de la peinture classique.
Les Oreilles ont des Murs – Rebecca de son prénom – n’en est pas à son coup d’essai. Elle a commencé à coller des oreilles dans les rues de Strasbourg début 2020 (elle est strasbourgeoise…). Et puis elle est montée à Paris et a essaimé ses oreilles dans les rues de la capitale.
C’est à partir de l’été 2020 que l’artiste a commencé à coller autre chose que des oreilles, et à partir de l’automne de se lancer dans cette série « Au Pied de la Lettre ». Elle s’amuse avec le langage fleuri de notre langue, et pour elle qui est dyslexique et dysorthographique (ce qui ne l’a pas empêché de rentrer en Khâgne), travailler ces expressions imagées, leur nuances, leur orthographe et leur sens, lui permet d’exorciser ce qui fut longtemps une source de honte pour elle.
Le nom « Les murs ont des Oreilles » est resté, et l’Oreille est devenue sa signature.
Cette série est sa première, l’artiste dit avoir beaucoup d’idées pour la suite.
On est impatient…"