Taken 26/10/2020
Pionnier du mouvement graffiti en France dès le milieu des années ’80,
Juan-Pablo “POPAY” de Ayguavives vit et travaille à Paris.
Renouvelant les canons -américains- du graffiti Hip-Hop sous diverses influences (Bande-dessinée, Figuration Libre ou Art Moderne…), Popay, tagger virtuose, maître es-calligraphie, est un des premiers artistes européens à avoir renouvelé le genre en agrémentant ses fresques de personnages picaresques, de paysages prolifiques et de ‘Freestyles’ fiévreux, abstractions lyriques et organiques d’une grande force et d’une réelle variété chromatique.
C’est alors déjà un ‘writer’ et coloriste hors-pair dans ce mouvement émergent en marge du marché de l’art, qui ne se fait pas encore appeler ‘Street Art’.
En termes de médium, Popay diversifie très tôt son activité plastique, au tournant du virage numérique, ne se cantonnant pas à la rue, ne se contentant pas des outils traditionnels, aérosol et marqueur. Il produit une multitude d’œuvres sur toile, mais aussi d’illustrations, dans des domaines très variés: fanzines, flyers, affiches, pochettes de disque, publicités, bandes-dessinées. Il s’initie également à l’infographie, au compositing et aux effets-spéciaux cinématographiques.
En parallèle à l’activisme quasi-puriste de la peinture clandestine et urbaine, fondé sur l’exemple d’outre atlantique, le style de Popay insuffle une liberté stylistique nouvelle, entre Punk, Rock Alternatif, et Hip-Hop.
C’est un autodidacte qui, bien que n’ayant jamais intégré officiellement quelconque école d’art, ne néglige aucun style pictural, fut-il académique. Hormis les nombreux ‘crews’ graffiti alors très actifs à Paris, en électron libre, il hante les différentes écoles parisiennes (Beaux-Arts, Arts-Décoratifs, facultés d’Art Plastiques…) ainsi que différentes friches et squatts d’artistes (Les Frigos, Le Pôle Pi, La Miroiterie, etc…) , nouant de nombreuses amitiés avec d’autres figures artistiques de sa génération, aujourd’hui reconnues.
src : www.zooartshow.com/visite/
Juan-Pablo “POPAY” de Ayguavives vit et travaille à Paris.
Renouvelant les canons -américains- du graffiti Hip-Hop sous diverses influences (Bande-dessinée, Figuration Libre ou Art Moderne…), Popay, tagger virtuose, maître es-calligraphie, est un des premiers artistes européens à avoir renouvelé le genre en agrémentant ses fresques de personnages picaresques, de paysages prolifiques et de ‘Freestyles’ fiévreux, abstractions lyriques et organiques d’une grande force et d’une réelle variété chromatique.
C’est alors déjà un ‘writer’ et coloriste hors-pair dans ce mouvement émergent en marge du marché de l’art, qui ne se fait pas encore appeler ‘Street Art’.
En termes de médium, Popay diversifie très tôt son activité plastique, au tournant du virage numérique, ne se cantonnant pas à la rue, ne se contentant pas des outils traditionnels, aérosol et marqueur. Il produit une multitude d’œuvres sur toile, mais aussi d’illustrations, dans des domaines très variés: fanzines, flyers, affiches, pochettes de disque, publicités, bandes-dessinées. Il s’initie également à l’infographie, au compositing et aux effets-spéciaux cinématographiques.
En parallèle à l’activisme quasi-puriste de la peinture clandestine et urbaine, fondé sur l’exemple d’outre atlantique, le style de Popay insuffle une liberté stylistique nouvelle, entre Punk, Rock Alternatif, et Hip-Hop.
C’est un autodidacte qui, bien que n’ayant jamais intégré officiellement quelconque école d’art, ne néglige aucun style pictural, fut-il académique. Hormis les nombreux ‘crews’ graffiti alors très actifs à Paris, en électron libre, il hante les différentes écoles parisiennes (Beaux-Arts, Arts-Décoratifs, facultés d’Art Plastiques…) ainsi que différentes friches et squatts d’artistes (Les Frigos, Le Pôle Pi, La Miroiterie, etc…) , nouant de nombreuses amitiés avec d’autres figures artistiques de sa génération, aujourd’hui reconnues.
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